Comment déceler une présence quelques soient les conditions météorologiques ou de luminosité ?
Question soulevée depuis la nuit des temps !
Cette tache fut tout d'abord dévolue à des individus du groupe possédant une vue, ou, une ouïe, plus développée que la moyenne : les sentinelles.
Avec l'avènement de la technologie, l'illumination infrarouge...
Comment déceler une présence quelques soient les conditions météorologiques ou de luminosité ?
Question soulevée depuis la nuit des temps !
Cette tache fut tout d'abord dévolue à des individus du groupe possédant une vue, ou, une ouïe, plus développée que la moyenne : les sentinelles.
Avec l'avènement de la technologie, l'illumination infrarouge, puis les amplificateurs de lumière/brillance firent leur apparition, et, supplentaires aussitôt les seules capacités humaines .
Dernier stade de l'évolution : le capteur thermique.
Un capteur thermique enregistre les rayonnement infrarouges, à savoir les ondes de chaleur émises par les corps chauds.
L'infrarouge est une onde de nature électromagnétique qui se situe « en dessous du rouge » (en latin infra : « plus bas »).
Dans le spectre lumineux l'infrarouge succéde aux couleurs visibles du côté du rayonnement de fréquence la plus basse à savoir le rouge. La longueur d'onde de l'infrarouge, dans le vide, se situe entre le domaine visible (≈ 0,7 μm), et le domaine des micro-ondes (0,1 mm).
Pour les puristes, la Commission Electronique Internationale s'accorde pour dire que l'infrarouge s'étend de 780 nm à 1 mm.
Pour rappel : à l'inverse du cinéma Hollywoodien un capteur infrarouge ne « voit » pas à travers les cloisons !
Il est toutefois possible, dans une certaine mesure possible de contourner cette technologie. Mais cela demande le déploiement de moyens conséquents, et, très spécifiques : tenue, filet de camouflage traités ANTI-IR. Certaines munitions fumigènes ont également cette capacité.